mercredi 28 décembre 2011

porte-parole de Han-Chung Salut répondre aux questions

Q: C'est la seconde fois la tenue d'un sommet de la sécurité nucléaire à droite après l'année en avril dernier à Washington DC Quelle est la signification du Sommet de Séoul 2012 sur la sécurité nucléaire?

R: En se référant de ce sommet, le président Barack Obama a prononcé un discours en avril 2009, à Prague, République tchèque. Tout d'abord renforcer les points faibles de la sécurité nucléaire, et, finalement, faire un monde sans arme nucléaire. A cette époque, la deuxième place la tenue du prochain sommet nucléaire a été mis à Séoul, République de Corée en 2012. Et au Sommet de Séoul sur la sécurité nucléaire, les efforts déployés entre ces deux années seront évalués et contrôlés. En 2009, de nombreuses nations se sont engagés sur la sécurité nucléaire, et en 2012 le même processus se fera en ajoutant quelques nouvelles promesses. Aussi 50 chefs de nations discuteront de la menace qui la terreur nucléaire et connote la terreur radioactifs. En tant que holding publique, nous faisons partie du rôle de premier plan. Nous faisons de notre mieux.


Q. Comment décidé la pays président ?

A. Pays président se décide normalité par délibération d'Amérique qui se ouvert en 1er et avec les autres pays. Pour nous qui a venir, peut-être nous nous prominons à société international par non-dissémination du nucléaire et la part de production d'électricité d'origine nucléaire on est 5eme capacités a la monde et on a 21 centrale nucléaire et en récemment on exporte non-dissémination du nucléaire
à UAE se porte au crédit de international, et avancement manifestation capacité qui a bien reussir, et on se reconnu par capacité du control du pont par pays développé et pays en voie de développement en plus intimité du president Lee et Obama se devien causer l'effet. Pratiquement j'entands que president Obama à déclarer que avec sa employé comment la Corée du sud se deviens par la 2eme pays president. À ce point on est bonnes relations.


Q: On dit que ce sommet est le plus grand sommet qui se tiendra dans une capitale qui débutera le 26 Mars pour 2 jours. Quel est l'état actuel des nations et organisations participantes?
R: Sur le G20 l'année dernière, 30 pays y compris les organisations internationales et les nations spéciale en invitant, avait participé, et au Sommet de Washington sur la sécurité nucléaire, de 50 nations, 47 pays et 3 organisations internationales, y avaient participé. Cette fois-ci quelques nations plus seront ajoutés et il est prévu que 55 à 60 nations vont participer ce qui est presque le double de la participation du G20. Ceci définit le record qui ne sera pas rompu pour une longue période. Les nations participantes se composent des P5 (5 nations nucléaires), les pays ayant une capacité d'énergie nucléaire, mais ne possédant pas d'armes nucléaires, pays possédant l'uranium, les nations représentant de chaque région, les trois nations (Inde, Pakistan, Israël) qui n'a pas signé TNP et les organisations internationales comme l'ONU, l'AIEA, l'UE et cette fois aussi Interpol. Toutes les nations et organisations participantes représentent ensemble plus de 80% de la population mondiale et plus de 90% du PNB total mondial qui signifie fondamentalement que presque tous les pays du monde y participeront.


Q. Quels sont les ordres du jour seront discutés lors du sommet de Séoul?

R. Il ya agendas de base qui avait été discuté au Sommet de Washington qui sont la prévention du terrorisme nucléaire, matières nucléaires, la défense des installations nucléaires, la prévention du commerce illicite entre les nations et ainsi de suite. Et il y aura d'analyse et d'évaluation entre repensetatives concernant le processus et les résultats des deux dernières années. lorsque Washington sommet était déclaratoire, sommet de Séoul attirer l'attention spéciale que le stade de mise en œuvre pour le progrès détail. L'ordre du jour spéciale à discuter au Sommet de Séoul sont les préoccupations de sécurité après un accident de Fukushima alimentation de centrales nucléaires en Mars.
Bien que les discussions, l'importance de l'énergie nucléaire sera donc rappelé que la fiabilité pouvait être rétablie. Terreur problème à propos substance radioactive qui a reçu moins d'attention au Sommet de Washington, seront traitées agressivement au sommet de Séoul.


Q. Ce matin AP diffusé que des Etats-Unis annoncera une aide alimentaire au sein de cette semaine et la Corée du Nord serait aussi annoncer la suspension provisoire de l'enrichissement d'uranium. Cela implique le feu vert concernant les pourparlers à six, et sera présent aussi avoir un effet positif sur le Sommet?

R: Oui, nous partageons ce point de vue aussi. Le problème nucléaire en Corée du Nord est une question fondamentale concernant la non-prolifération nucléaire et une question que nous avons des intérêts sur. Comme je l'ai mentionné plus haut sommet sur la sécurité nucléaire est de restreindre les terroristes d'acquérir des matières nucléaires afin puisque le problème nucléaire nord-coréen est un problème international entre les pays, il est difficile de faire la Corée du Nord problème nucléaire comme une référence directe que l'agenda du sommet. Cependant, il serait naturel de susciter l'intérêt des pays et des médias en raison du fait que le sommet se tient à la péninsule coréenne. Si les pourparlers à six doivent avoir lieu avant le sommet avant Mars, il aura l'effet global positif. En outre, discuter des questions nucléaires au sommet de Séoul sur la sécurité nucléaire se fera parvenir un message à la Corée du Nord d'abandonner le programme nucléaire et sortir à la communauté internationale. Dans cet aspect, le président Lee Myung-Bak mentionner le mois de mai dernier que si la Corée du Nord abandonne le programme nucléaire pourrait être invité à participer à ce sommet, peut être compris.

La sécurité nucléaire est la responsabilité de chaque pays

La sécurité nucléaire est la responsabilité de chaque pays

Les dirigeants du monde se réuniront à nouveau à Séoul, Corée du Sud en mars prochain. Le thème de cette réunion est une menace réelle. La menace est pire lorsque des terroristes faire exploser soi-disant «bombe sale». Bombe sale n'est pas une bombe atomique, mais sa complète de l'explosion peut conduire au chaos. La conséquence économique de l'explosion sera la même aussi de la bombe réelle.

Tout comme la protection de la facilites nucléaire est importante, la protection des matières nucléaires doivent être serrés. Deux ans après le Sommet de Washington, la protection des matières et installations nucléaires ont été grandement améliorées.

La sécurité nucléaire est des responsabilités de base de chaque individus. Pourtant, les dix dernières années, l'AIEA a fait divers efforts pour améliorer la sécurité nucléaire. Il a adhéré aux questions des conseils sur les lois de protection nucléaire, et a trouvé des points faibles nucléaires valeurs mobilières de chaque pays. Il a également travaillé à améliorer la protection des valeurs mobilières liées médicale et l'industrie. Depuis efficaces de sécurité nucléaire nécessite la main-d'œuvre hautement qualifiée et une technologie avancée. AIEA a edcuated sur la sécurité nucléaire dans 120 pays, contre plus de 10.000 personnes.

AIEA est également d'aider les pays à établir un système de suivi des matières nucléaires et le vol fournissant des équipements nucléaires à detectiion dissuader les terroristes de la contrebande.

Le moyen le plus efficace pour comprendre la tendance de la sécurité nucléaire est l'information. AIEA "base de données illégal de suivi du commerce» est utile dans la détection des activités nucléaires et unauthroized vols nucléaire. La base de données a enregistré plus de 150 activités de transcations illégal. L'AIEA est d'aider à prévenir la coupe du monde ou des activités olympiques de la terreur nucléaire. Évaluation de la menace, le rayonnement capacité de développement de détection sont quelques-unes des activies que l'AIEA n'est fait pour prévenir le terrorisme nucléaire.

Les terroristes vont essayer de trouver le système le plus faible de la sécurité dans le monde. Pour cette raison, l'AIEA, qui compte 152 États membres peuvent contribuer beaucoup.

Je suis très heureux que la Corée du Sud est devenu un fervent partisan du système international de sécurité nucléaire car elle est le pays hôte du Sommet 2012 sur la sécurité nucléaire. Comme il est mentionné à partir de 2011 du Sommet sur la sécurité nucléaire à Washington, je crois fermement que le soutien de l'AIEA pour renforcer les activités de la sécurité nucléaire se répète à Séoul.

Ratifier la Convention modifiée de contre-terrorisme
Parmi eux, le plus simple des mesures décisives que les États participants peuvent faire est de ratifier »la convention modifiée sur la protection des matériaux nucléaires (ACPNM). Cette convention est l'un des systèmes importants du droit international de coutner terreurs. Cette convention a été modifiée pour l'utilisation de matières nucléaires, stroage et transportaion et d'étendre la couverture de la Convention de 2005. Toutefois, cette convention n'est pas entré en vigueur parce que le nombre de pays ayant ratifié ne sont pas encore assez. J'encourage les dirigeants du monde à ratifier la convention amendée immédiatement afin de faire des progrès dans la prévention internationale contre le terrorisme nucléaire

Kim Sung Hwan, ministre des Affaires étrangères et du commerce

Kim Sung Hwan, ministre des Affaires étrangères et du commerce, sommet nucléaire: au delà de la sécurité

Par Kim Sung Hwan


Nous disons souvent que nous vivons dans une ère d'incertitude. Dans ces moments-là, il n'est que raisonnable que nous couvrons notre risque et se préparer à l'inattendu. Cela a longtemps été une tradition dans le domaine de la sécurité et il ne devient plus convaincante après les attentats du 9.11. terroristes en 2001. Cet incident a fait apparaître que trop clairement que rien n'est inimaginable.


Cela s'applique aussi au danger du terrorisme nucléaire. Un terroriste avec une bombe nucléaire pourrait déclencher de telles destructions massives qui pourrait éclipser tous les actes terroristes passés. Actuellement, on estime que près de 1.600 tonnes d'uranium hautement enrichi (UHE) et 500 tonnes de plutonium sont stockées dans des emplacements dispersés à travers le monde.


C'est suffisamment de matière nucléaire à la mode des 126 500 armes nucléaires. Selon les données de trafic illicite de l'Agence internationale d'énergie atomique (AIEA), plus de 2.000 cas de trafic, le vol illégal ou perte de matières nucléaires et radiologiques ont été signalés dans le monde de 1993 à 2011, et de ceux autour de 60 pour cent ont pas été retrouvé.


La Commission 9.11. a également signalé sur le désir passé d'Al-Qaïda d'acquérir des matières nucléaires et il a été connu que d'autres groupes terroristes tels que Aum Shinrikyo a essayé de mettre la main sur des matières nucléaires.


En tant que tel, quand le président américain Barack Obama a exposé sa vision pour un "monde sans armes nucléaires" à Prague en 2009, il a souligné à juste titre que la sécurité nucléaire est la première étape urgente et la fondation pour la réalisation du but ultime.


Ainsi, le Sommet sur la sécurité première centrale nucléaire a eu lieu à Washington, DC, l'année dernière, où 47 pays et trois organisations internationales se sont réunis pour se lancer dans un effort sérieux pour atteindre un monde plus sûr en obtenant matières nucléaires vulnérables.


Corée prendra le relais et d'accueillir le Sommet sur la sécurité nucléaire seconde à Séoul du 26 mars to 27 années prochaines. Cela reflète la Corée du rang supérieur international et une confiance croissante de la communauté internationale en Corée activités nucléaires pacifiques.


Ce sommet, qui sera la plus grande jamais organisée en Corée, sera assisté par les États, même plus que le sommet précédent. Cet intérêt accru montre qu'il ya prise de conscience globale significative et la compréhension de la gravité de cette question.


En tant que forum de sécurité Premier ministre, le sommet de Séoul regroupera la plus haute volonté politique des dirigeants dans le monde et franchir une étape importante dans la réalisation d'un monde sans terrorisme nucléaire.


En favorisant la coopération substantielle entre les deux signataires du Traité de non-prolifération nucléaire (TNP) et non parties au TNP stipule ainsi que les puissances nucléaires et non nucléaires, il contribuera à renforcer la confiance des efforts en matière de non-prolifération et de désarmement.


Plus précisément, le sommet de Séoul fera progresser la vision et les engagements pris lors du sommet précédent tels que définis dans le «Communiqué de Washington» et le plan de travail comprenant des 50 mesures spécifiques de coopération dans 11 domaines.


Ils comprennent: la minimisation de l'uranium hautement enrichi, la ratification des accords internationaux pertinents tels que la Convention amendée sur la protection physique des matières nucléaires et la Convention internationale pour la répression des actes de terrorisme nucléaire, et la création de centres d'excellence pour offrir une formation pertinente.


S'appuyant sur les travaux de Washington, nous allons présenter de nouveaux objectifs et identifier des moyens pratiques de les réaliser, comme cela sera exposé dans le «Communiqué de Séoul." Un des axes sera l'interface et la synergie entre la sécurité et de sûreté nucléaire, qui a émergé d'autant plus important après le grave accident nucléaire de Fukushima Mars.


Une autre question importante sera la menace du «terrorisme radiologique» qui utilise les plus primitives encore suffisamment dévastatrice «bombes sales». Grâce à ces discussions, nous espérons que le sommet de Séoul contribuera à restaurer et à renouveler notre confiance dans l'énergie nucléaire dans cette renaissance du nucléaire.


Comme le secrétaire général Ban Ki Moon a déclaré, juste une attaque terroriste nucléaire pourrait apporter des changements non désirés dans le monde pour toujours. Nous faisons face à un problème de sécurité commune - celle qui mérite notre attention constante et une action immédiate. Nous devons forger une alliance forte pour servir cette noble cause et d'investir aujourd'hui pour éviter une catastrophe à l'avenir.


En outre, avec plus de 50 dirigeants du monde réunis à Séoul pour participer à des discussions sur les principales questions nucléaires, le sommet sera également envoyer un message sur l'importance vitale de la paix et la stabilité sur la Péninsule coréenne et de contribuer en tant que tels.


Kim Sung Hwan est ministre des Affaires étrangères et du commerce.

Source: Korea Times

lundi 26 décembre 2011

Cangement distribution d'un jingle

 Déjà paru du distribution d'un jingle de le Sommet de 2012 de Séoul sur la sécurité nucléaire : Avant 19 ~27 ㅡ> 28 ~ Pendant 2 semaine

 * Conférez l'article : Park Jung Huen qui aura chanter un sonal coutume "Music de paix" en sommet du sécurité nucléaire en 2012 

lundi 19 décembre 2011

Post de 2012 Séoul Nuclear Sommet sur la Sécurité

<img alt="" src="http://osfinsua.files.wordpress.com/2011/12/ed95b5ec9588ebb3b4ebb688ebacb85eb8ba81.jpg" class="alignnone" width="2185" height="1004" />

Déclaration éminentes pour le Sommet de 2012 de Séoul sur la sécurité nucléaire

Déclaration "conjointe du groupe de personnalités" éminentes

pour le Sommet de 2012 de Séoul sur la sécurité nucléaire

 


 

1. le sommet de Séoul devrait démontrer des progrès tangibles dans la mise en œuvre des engagements pris lors du Sommet de Washington avec tous les participants qui ont déclaré spécifiquement sur les activités qu'ils ont menées et proposent d'entreprendre;

 

2. le sommet de Séoul devrait faire avancer le processus du Sommet sur la sécurité nucléaire à la phase de mise en œuvre par la mise dans le «Communiqué de Séoul" une vision pratique et de nouvelles mesures concrètes;

 

3. chaque État participant doit s'engager à apporter une contribution significative à l'objectif du régime de renforcer la sécurité nucléaire en annonçant volontaires, les engagements individuels au Sommet de Séoul. Par ailleurs, les Etats participants nécessité de réaffirmer le rôle essentiel de l'Agence internationale d'énergie atomique (AIEA) dans le cadre de la sécurité nucléaire et la sécurité.

 

4. le sommet de Séoul devrait prendre en compte la nouvelle situation internationale de sécurité qui ont pris forme depuis le Sommet de Washington. En particulier, en examinant les leçons de l'accident de Fukushima que les rejets de radioactivité dans l'environnement ont des conséquences graves, le sommet de Séoul devrait reconnaître que, tout comme l'insuffisance de la sûreté nucléaire peut mettre la sécurité nucléaire à risque, l'insuffisance de la sécurité nucléaire peut mettre la sécurité nucléaire à risque. En conjonction, il faut développer des mesures de coopération pour réduire la menace de terrorisme radiologique. Le sommet de Séoul devrait également promouvoir le renforcement des mécanismes de coopération internationale et régionale en matière de sûreté nucléaire et la sécurité;

 

5. le sommet de Séoul devrait souligner l'importance de prévenir le transfert illicite de matières nucléaires, notamment, le renforcement de la coopération internationale et régionale à travers le partage d'informations et de meilleures pratiques et le renforcement des capacités.

 

6. le sommet de Séoul devrait s'appuyer sur l'élan généré par le Sommet de Washington sur la sécurité nucléaire et devrait faire des efforts pour organiser un troisième sommet à donner une impulsion politique au plus haut niveau pour le processus de renforcement de la sécurité du régime nucléaire et évaluer les progrès accomplis sur le Sommet de Washington de 4 ans verrouillage cible.

Park Jung Huen qui aura chanter un sonal coutume "Music de paix" en sommet du sécurité nucléaire en 2012

Park Jung Huen qui aura chanter un sonal  coutume  "Music de paix"  en sommet du sécurité nucléaire en 2012
À parti de février 19, distribution gratuité se commence Park Jung Huen "Music de paix" en Olleh  & Melon
Événement commence "Music de paix"  est pour célebrer D-100 en decembre 19 (Lundi) on peut télecharger en gratuité. 'Ecoute la musique belle et participe en évenement~'
Participez sûrement  et faire conaître les gens ce que vous connaîssez! 







Musique Paix

mardi 13 décembre 2011

Grandes réalisations de FHN-4!

Le Forum de quatrième niveau sur l'Efficacité de l'aide (HLF4) est venu à sa fin, résultant du nouveau partenariat pour Busan coopération au développement efficace, qui est un sac mélangé en termes de résultats que la société civile a été plaidant pour.
Le Partenariat Busan donne un nouvel élan pour le déliement de l'aide et l'utilisation des systèmes nationaux-domaines cruciaux pour rendre l'aide mieux contribuer au renforcement des capacités qui sont nécessaires pour mettre fin à la dépendance de l'aide.
Certains progrès ont été réalisés sur l'efficacité de l'aide coeur, avec des engagements renforcés sur l'appropriation démocratique, utilisation des systèmes nationaux et le déliement de l'aide. Par ailleurs, la Chine et d'autres pays BRIC hésitante déplacé sous l'égide de ce nouveau partenariat est.

jeudi 1 décembre 2011

La Chine se rétracte au forum de Busan sur l'aide internatio

La Chine a décidé de se détourner d'une gestion mondiale de l'efficacité de l'aide.

Alors que le quatrième forum de haut niveau sur l'efficacité de l'aide a pris place à Busan, en Corée du Sud, la Chine a informé qu'elle n'était pas prête à se lancer dans la mise en place de mesures mondiales sur l'aide au développement.

De plus en plus de pays tels que la Chine, l'Inde et le Brésil reçoivent et fournissent de l'aide internationale. Après les forums de Rome, Paris et Accra, il s'agissait donc d'y mettre de l'ordre afin d'assurer plus de transparence et de régulations et éviter le gaspillage. Or aucun de ces trois pays ne souhaite participer à la mise en place d'une nomenclature internationale.

Pourtant, la Chine a fourni environ 40 milliards de dollars d'aide dans les 60 dernières années, notamment en Afrique. Pour certains, son désengagement s'explique par des changements politiques internes, alors que pour d'autres, cela est lié à une incertitude vis-à-vis de l'engagement à prendre à Busan. Mais la banque africaine de développement semble elle insinuer que la Chine veut avoir les mains libres en Afrique.


http://www.youphil.com/fr/article/04613-la-chine-se-retracte-au-forum-de-busan-sur-l-aide-internationale?ypcli=ano

Birmanie: Hillary Clinton en route pour une visite historiqu

BUSAN (Corée du Sud) (AFP) - Hillary Clinton était en route mercredi pour la Birmanie pour la première visite d'un secrétaire d'Etat américain depuis 50 ans, avec l'espoir d'encourager "un mouvement pour le changement" dans l'un pays les plus isolés de la planète.

Après avoir participé à une conférence sur l'aide internationale en Corée du Sud, Mme Clinton s'est envolée pour Naypyidaw, ville nouvelle bâtie au milieu de la jungle et promue capitale à la place de Rangoun en 2005 par la junte alors au pouvoir.

Cette junte s'est depuis autodissoute et a transféré en mars ses pouvoirs à un gouvernement dit "civil".

Dans un pays toujours dominé par les militaires, le nouveau régime a surpris par une série de réformes menées à un rythme effréné, permettant en particulier le retour au coeur du jeu politique de l'opposante Aung San Suu Kyi, libérée de sept années de résidence surveillée il y a un an.

Le président américain Barack Obama a personnellement annoncé la visite de sa secrétaire d'Etat en évoquant des "lueurs" d'espoirs dans le pays. Mais son administration reste prudente, consciente d'attentes déçues par le passé.

Juste avant de quitter la Corée du Sud, Clinton a souligné que les Etats-Unis espéraient que les efforts de réformes se traduiraient par un véritable "mouvement pour le changement, qui bénéficiera au peuple". Elle a indiqué aux journalistes qu'elle déterminerait par elle-même "quelles sont les intentions du gouvernement actuel en ce qui concerne la poursuite des réformes, politiques et économique"

Elle insistera également pour la libération de tous les prisonniers politiques --qui seraient entre environ 500 et plus de 1.600 selon les estimations-- et pour la résolution des conflits avec les minorités ethniques, qui n'ont jamais pacifié leurs relations avec le pouvoir central depuis l'indépendance en 1948.

Selon des responsables américains, Mme Clinton n'annoncera pas la levée des sanctions économiques contre la Birmanie, qui nécessiterait l'approbation du Congrès. Mais les hauts diplomates américains entreprennent rarement un tel voyage sans être prêts à offrir quelque encouragement.

La secrétaire d'Etat rencontrera jeudi le président Thein Sein, ancien général et Premier ministre de la junte, qui pousse aujourd'hui pour les réformes. Avant s'envoler pour Rangoun pour un entretien avec Aung San Suu Kyi, incontournable interlocutrice des capitales occidentales.

Les responsables américains reconnaissent qu'ils en savent très peu sur le fonctionnement interne du processus de décision en Birmanie et beaucoup estiment que le gouvernement se méfie toujours du monde extérieur.

L'ancien généralissime Than Shwe, aujourd'hui à la retraite, était, dit-on, certain d'une invasion américaine. D'où le déplacement de la capitale loin dans les terres et son refus de l'aide américaine en 2008 après le cyclone Nargis qui avait fait quelque 138.000 morts et disparus.

Mais selon les experts, Naypyidaw, aujourd'hui très dépendante de son puissant allié et voisin chinois, cherche à diversifier sa politique étrangère. Juste avant le déplacement de Hillary Clinton, le chef de l'armée birmane s'est rendu à Pékin pour réaffirmer les liens entre les deux pays, alors que Thein Sein a récemment suspendu la construction d'un barrage controversé financé par les Chinois.

La Birmanie est l'un des pays les plus pauvres du monde.

Pourtant riche en ressources naturelles, elle est dépourvue d'infrastructures bancaires dignes de ce nom et peine à se relever de la politique d'inspiration socialiste de la junte au pouvoir jusqu'en 1988, et de la confiscation des richesses par celle qui lui a succédée.

Elle reste également soumise à de strictes sanctions économiques américaines et européennes.

Le seul autre secrétaire d'Etat américain à s'être rendu dans le pays était John Foster Dulles en 1955.


http://newsletterappa.over-blog.com/article-one---busan-efficacite-de-l-aide-90281067.html

Le Maroc participe au quatrième Forum de haut niveau sur l’e

 
Une délégation marocaine, présidée par Mme Latifa Akharbach, Secrétaire d’Etat auprès du Ministre des Affaires Etrangères et de la Coopération prendra part au 4e Forum de haut niveau sur l’efficacité de l’aide (HLF4) qui se tiendra à Busan, en Corée du Sud, du 29 novembre au 1er décembre 2011.Cette délégation est constituée de représentants du Ministère des Affaires Etrangères et de la Coopération et du Ministère de l’Economie et des Finances.
Cette 4ème édition, qui fait suite aux Forums de Rome (2003), Paris (2005) et Accra (2008), rassemblera, selon un communiqué des Finances, quelque 2000 délégués internationaux représentant notamment les pays développés et les pays en développement, les institutions internationales de développement ainsi que les organisations de la société civile.
L’objectif du Forum de Busan est d’évaluer les progrès réalisés dans la mise en œuvre des principes de la Déclaration de Paris et du Programme d’Actions d’Accra. Mais aussi de prendre de nouveaux engagements en matière d’efficacité de l’aide afin de contribuer à réduire la pauvreté et dynamiser la réalisation des Objectifs du Millénaire pour le Développement d’ici 2015.
A l’issue de ce Forum, précise-t-on de même source, les partenaires de développement devront approuver le nouvel agenda pour l’aide au développement et entériner un consensus autour de principes communs pour un partenariat plus efficace au service du développement.
30/11/2011


http://www.lopinion.ma/def.asp?codelangue=23&id_info=22860&date_ar=2011-11-30%2016:19:00

L’OIF au 4e Forum de haut niveau sur l’efficacité de l’aide

MERCREDI, 30 NOVEMBRE 2011 14:08  LA RÉDACTION
L’Organisation internationale de la Francophonie (OIF) accompagne ses États et Gouvernements membres dans la participation au 4e Forum de haut niveau sur l’efficacité de l’aide, qui se tient à Busan en Corée du sud du 29 novembre au 1er décembre 2011, dont l’objectif est d’évaluer les progrès réalisés depuis l’adoption de la Déclaration de Paris et du Programme d’action d’Accra, et d’envisager de nouveaux engagements afin de réduire la pauvreté et atteindre la réalisation des objectifs du Millénaire pour le développement. C’est ce qui ressort de ce communiqué de presse.



«L’OIF participe aux rencontres de Busan à travers le groupe de travail chargé de rédiger la déclaration finale et apporte son appui aux délégations des pays francophones et aux organisations de la société civile africaine. Ces dernières ont été réunies dès le 28 novembre sur place afin de susciter les échanges et d’encourager l’harmonisation des positions.
En amont, l’OIF a préparé des notes de réflexion concernant trois thèmes jugés particulièrement importants pour faire progresser l’efficacité de l’aide, que celle-ci provienne des sources  traditionnelles ou des fonds additionnels résultant  de la mise en place de nouveaux mécanismes de financements innovants : 
 
-l’allocation de l’aide et ses modalités de mise en œuvre (l’appropriation, l’alignement et la fragilité) ;
-les enjeux de la coopération Sud-Sud et tripartite pour le développement ;
-le principe de la redevabilité dans le domaine de l’aide.
La rencontre de Busan a également été l’occasion de réaliser le bilan de la mise en œuvre des grands principes de la Déclaration de Paris dans son action de coopération. Engagée depuis 2005 pour suivre les recommandations sur une meilleure efficacité de l’aide, l’OIF a renforcé sa démarche de modernisation à travers un plan de gestion stratégique, adopté en 2009, qui vise à la doter de modalités d’intervention et d’outils de gestion rénovés afin de mieux répondre aux besoins de ses États et gouvernements membres.»


http://www.fasozine.com/index.php/societe/societe/7275-loif-au-4e-forum-de-haut-niveau-sur-lefficacite-de-laide

Forum de haut niveau sur l’efficacité de l’aide à Busan

En notre qualité de ministres du Développement du Canada, du Danemark, de l'Allemagne, des Pays-Bas, de la Suède, du Royaume-Uni et des États-Unis, nous croyons qu'il est urgent de porter une plus grande attention aux résultats de développement durables. L'obtention de résultats en faveur des pauvres sera au cœur des engagements que nous prendrons pour améliorer l'efficacité de l'aide et l'efficacité du développement. En effet, nous réitérons notre engagement à aider nos pays partenaires à obtenir des résultats de développement durables en prévision du Quatrième Forum de haut niveau sur l'efficacité de l'aide à Busan, en Corée.

Au cours de la dernière décennie, des progrès rapides sans précédent ont été réalisés dans la réduction de la pauvreté. Certains progrès sont attribuables à la croissance rapide que connaissent les économies émergentes, mais aussi à l'aide mondiale ― malgré le ralentissement économique, l'aide publique au développement mondiale a augmenté de 35 % depuis 2004 (Statistiques du CAD de l'OCDE, 2010). Cette aide a été offerte par des pays développés et, de plus en plus, par des économies émergentes et le secteur privé. Cependant, nous sommes conscients que cette aide est loin de suffire. En effet, la pauvreté, le chômage et le manque de possibilités sociales et économiques sont encore généralisés. Les États fragiles et touchés par les conflits continuent d'accuser les plus grands retards dans l'atteinte des Objectifs du Millénaire pour le développement, et le monde de la coopération au développement est plus fragmenté que jamais.

Grâce à la mise en œuvre de la Déclaration de Paris, qui a constitué une étape très importante, il a été possible de s'assurer que l'augmentation des fonds de développement soit conjuguée à une plus grande efficacité des dépenses. Adoptée en 2005 lors du Deuxième Forum de haut niveau sur l'efficacité de l'aide, la Déclaration de Paris contenait une série novatrice de principes communs visant à améliorer la qualité de l'aide et ses retombées. Elle contenait aussi une série d'engagements qui pouvaient faire l'objet d'un examen et d'un suivi au cours des cinq années suivantes. La Déclaration de Paris a permis d'améliorer la façon de dépenser les fonds de développement, mais nous reconnaissons qu'il est possible de faire plus. Nous voulons nous assurer que les fonds consacrés à la coopération internationale pour le développement soutiennent l'initiative et la prise en charge de nos pays partenaires, et qu'ils permettent de diminuer leur dépendance à l'aide internationale en produisant de meilleurs résultats. Nous voulons mobiliser d'autres sources financières et de soutien potentielles, tant du secteur privé que public, et nous assurer d'une plus grande cohérence à cet égard. De plus, nous voulons démontrer l'optimisation des ressources à nos citoyens et à ceux des nos pays partenaires.

Le Quatrième Forum de haut niveau sur l'efficacité de l'aide, qui s'appuie sur les principes convenus à Paris, aura lieu la semaine prochaine à Busan, en Corée. Cet événement d'une grande importance rassemblera des chefs d'État, des ministres, des institutions multilatérales, des spécialistes du développement, des jeunes, des parlementaires et des représentants du secteur privé de pays développés et en développement, ainsi que des représentants de la société civile, l'objectif étant d'arriver à un nouveau consensus plus rassembleur sur les résultats de développement. Ensemble, nous devons établir un nouveau partenariat reposant sur des principes communs en vue d'une coopération au développement efficace. Pour y arriver, nous pourrions devoir conjuguer nos efforts afin de favoriser l'obtention des résultats de développement auxquels nous aspirons dans le cadre des Objectifs du Millénaire pour le développement.

La conférence à Busan portera avant tout sur l'atteinte de meilleurs résultats de développement, sur le renforcement de la transparence, de la gouvernance démocratique et de la responsabilisation, sur la mobilisation des contributions potentielles du secteur privé et d'autres acteurs à l'amélioration de l'efficacité du développement, de même que sur les nouvelles façons de faire participer les États fragiles et touchés par les conflits. Nous nous emploierons à renforcer notre responsabilisation à l'égard de nos pays partenaires et de nos contribuables respectifs, tout en aidant à obtenir les meilleurs résultats dans le but d'améliorer le sort des pauvres. En outre, nous établirons un partenariat mondial élargi pour la coopération au développement, en étant pleinement conscients du rôle important que jouent les économies émergentes et d'autres acteurs dans le développement, comme le secteur privé, les fondations et la société civile, et aiderons encore plus les pays partenaires à continuer d'exercer leur leadership afin de réaliser des progrès. Nous croyons fermement que la responsabilité d'un développement durable qui n'exclut personne incombe en fin de compte aux gouvernements de nos pays partenaires, mais qu'elle revient avant tout à tous les acteurs du développement.

Nous sommes persuadés que tous les acteurs du développement seront prêts à participer avec nous à cet événement important à Busan.

http://www.acdi-cida.gc.ca/acdi-cida/ACDI-CIDA.nsf/fra/NAT-11298147-HJD

Rwanda - Le président Kagame arrive à Busan

Le président Kagame est arrivé aujourd'hui à Busan, Corée du Sud où il est prévu de prendre part au Forum de Haut Niveau 4ème efficacité de l'aide qui a débuté aujourd'hui. Autres grands dirigeants prenant part notamment Lee Myung-bak, président de la République de Corée, M. Ban Ki-moon, Secrétaire général des Nations Unies, Mme Hillary Clinton, les États-Unis secrétaire d'Etat, Sa Majesté la Reine Rania de Jordanie parmi les, autres.

Le forum réunira des dirigeants de développement et les pays donateurs, des représentants d'organisations de la société civile et secteur privé. Environ 2000 délégués participant au Forum examineront les progrès mondiaux dans l'amélioration de l'impact et la valeur pour l'argent de l'aide au développement et à prendre de nouveaux engagements pour mieux garantir que l'aide contribue à réduire la pauvreté et favorise le progrès dans la réalisation des Objectifs de Développement du Millénaire.

Depuis le début de 2000, le gouvernement du Rwanda a pris une solide avance dans la promotion de l'utilisation efficace de l'aide à l'instar de grands paramètres énoncés dans les accords internationaux, y compris Déclarations de Rome et Paris et le Programme d'action d'Accra.

Les résultats du Forum de Busan sont attendus pour contribuer à une partie intégrante d'un nouvel agenda et inclusif pour une coopération efficace fondée sur des objectifs communs, des principes communs et des actions différenciées en mettant l'accent sur ​​des domaines tels que la qualité améliorée et l'efficacité de la coopération au développement, le départ de l'aide efficacité à l'efficacité du développement et de partenariat pour le progrès vers les OMD et au-delà.

Durant son séjour, le Président Kagame est prévu d'avoir une réunion bilatérale avec SEM Lee Myung-bak, président de la République de Corée. Le Président Kagame s'entretiendra également avec le Secrétaire général de l'ONU, Ban Ki Moon et effectuer des visites à l'Hyundai Heavy Industries et usine automobile, Samsung plantes et KISA Cyber Security Center.


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Angel Gurria: Des ruines de la guerre de Corée

Angel Gurria: Des ruines de la guerre de Corée
Angel Gurria, secrétaire général de l'OCDE, a déclaré que la Corée est en effet un modèle de rôle pour l'aide internationale parce qu'il a rejoint les rangs des pays développés après avoir été dans les ruines de la guerre de Corée.

Rania Al Abdullah Reine de Jordan annonce

Rania Al Abdullah Reine de Jordan annonce que "Aide develope se mise au point en éducation" et "Corée est un pays bon modèle en implication dans l'éducation qui est haut". Ça veux dire que on doit faire connaître pêcher avant donner la poisson, pour aide develope en continuel. 

Déclaration du Forum de Haut Niveau 4ème efficacité de l'aide

Déclaration du Forum de Haut Niveau 4ème efficacité de l'aide
Changer le paradigme de la politique d'aide internationale de 'efficacité de l'aide »à« l'efficacité du développement »et bâtir un nouveau partenariat mondial complet qui englobe les principaux donateurs comme les pays industrialisés et émergents, des donateurs privés, et plus encore.
La déclaration de Busan, avec les quatre principes communs, notamment △ la propriété des pays en développement avec les priorités de développement axée sur les résultats △ à partir des résultats centraux de partenariat △ △ développement inclusif transparence et de responsabilité mutuelle.
Au cours des quatre actions, à adopter une △ approfondi et élargi l'appropriation démocratique des politiques de développement et les processus △ une consolider les efforts pour obtenir des résultats concrets et durables favorables à l'élargissement △ pour la coopération Sud-Sud triangulaire et de soutien adaptés aux besoins et aux circonstances de chaque pays de soutien pour les activités de △ coopération au développement afin qu'elle puisse agir comme un catalyseur pour le développement.

Discours du Rania Al Abdullah, la reine de la Jord

Discours du Rania Al Abdullah, l'épouse, la reine actuelle de la Jordanie
Rania Al-Abdullah, l'épouse, la reine actuelle de la Jordanie, a déclaré que «Lorsque les gens investir un dollar, l'aide au développement plus efficace est l'investissement dans les filles. Ainsi, nous avons besoin d'investir dans les femmes qui représentent la moitié de la population mondiale et 40% de la population ».

Discours du secrétaire d'Etat américaine Hillary Clinton

Discours du secrétaire d'Etat américaine Hillary Clinton
Secrétaire d'Etat américaine Hillary Clinton a déclaré que «de nombreuses études, nous avons découvert que les pays qui ont investi dans les femmes et les filles sont susceptibles de devlop plus. Comme la Corée du Sud a surmonté les ruines de la guerre de Corée à travers l'éducation, l'investissement en Corée du Sud en matière de santé et de l'éducation est incroyable".

Le discours du Premier ministre chilienne Michelle Bachelet

Le Chili, Michelle Bachelet, le premier ministre a déclaré que "Les femmes sont responsables de la moitié de la production alimentaire mondiale et ils poduce 8cent 90 millions dollars de valeur ajoutée par an seulement en Asie, mais leur ratio d'effort des droits de propriété n'est même pas 1%". Elle a également parlé que "si la discrimination sexuelle n'est pas résoudre, on ne peut s'attendre au développement économique"

mercredi 30 novembre 2011

Paul Kagame, président du Rwanda apprentissage

Paul Kagame, président du Rwanda apprentissage de la République de Corée
Rwanda, Paul Kagame a déclaré le président avec l'anticipation"Pendant le temps où la République de Corée a fait la croissance économique avec l'aide étrangère et transformé en une aide donnant pays, avec des fonds de soutien, c'est plus que le dollar de 1 milliard, le revenu de l'Afrique a chuté plus bas que 1970 et plus de la moitié de sa population souffre de pauvreté”