lundi 2 janvier 2012

L'énergie nucléaire civile entraîne une culture de la sécurité internationale

Aujourd'hui marque un jalon important pour la sécurité énergétique à long terme de l'UAE. Le 27 Décembre il ya deux ans, Cheikh Khalifa bin Zayed, président des EAU, et son homologue coréen, Lee Myung-bak, a approuvé un projet conjoint de construction de centrales nucléaires qui a ouvert la voie pour le premier programme d'énergie nucléaire civile dans le Golfe.

En donnant le feu vert à la Société Emirats énergie nucléaire (ENEC) et le consortium coréen dirigé par le Korea Electric Power Corporation, les deux pays ont également aidé à mettre en scène la renaissance du nucléaire dans la région, un «printemps nucléaire" dans la scène énergétique mondiale.

Les Émirats arabes unis sélectionné le consortium coréen en raison de la sécurité de la technologie. Lorsque les quatre unités du système de réacteur de troisième génération, connue sous le nom APR1400, sont terminées en 2020 au Braka dans Al Gharbia région d'Abu Dhabi, il livrera environ 25 pour cent de l'électricité du pays. L'usine permettra également de transformer les EAU d'une économie à base d'huile vers une basée sur la connaissance économie de haute technologie décrite dans sa Vision 2030.

Mais les Émirats arabes unis n'a pas réglé pour les examens prescrits internationaux. Il a également pris la prudente - et volontaire - étape d'inviter les plus distingués du monde des experts nucléaires pour fournir un examen indépendant de l'ensemble de la nation le programme nucléaire. Depuis 2010, le Conseil consultatif international (CCI), composé de neuf experts du monde bien connue nucléaire et dirigé par le Dr Hans Blix, l'ancien directeur général de l'AIEA, a été l'émission des rapports d'examen semestriel.

La récente visite du CCI à Braka en Novembre porté sur les questions de sécurité spécifiques au site depuis Fukushima. Autres questions de sécurité génériques sont traitées en utilisant l'exemple de l'usine de référence coréen, Shin-Kori unités 3 et 4.

En réponse à l'avis, l'opérateur va fournir des solutions d'ingénierie suffisante aux préoccupations de sécurité applicables avant que les problèmes FANR la licence pour commencer la construction du bâtiment réacteur, le premier jalon connu comme le "premier béton". Ce qui est encourageant est le fait que les EAU ont lancé un système d'examen impliquant la CCI de solliciter des avis indépendants d'experts du monde entier et, plus important encore, le rendre public transparent.

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